"Mon bienheureux
époux "dont le
caractère loyal vous était connu", Monsieur Daguerre, vient de terminer et
sans maladie aucune, sa carrière."
Texte de l'abbé Moigno
daté de 1850, en parlant d'Arago.
"Son âme noble et
généreuse ne lui a pas laissé soupçonner
qu'on pouvait le tromper: et il s'est fait le narrateur trop
fidèle des faits qui lui ont été fournis, faits
dénaturés par M.Daguerre. Osons seulement faire un
voeu; c'est que M. Arago profite de l'occasion qui lui sera
certainement offerte un jour pour reconnaître que l'on avait
attenté à sa bonne foi."