Article 3
et Article 4 du traité entre Niépce et
Daguerre.
Le
Physautotype: nous dénonçons la falsification
des textes
cautionnée par des
académiciens incompétents.
par Jacques Roquencourt
Articles 3 et 4
.
Niépce et Daguerre ont
signé un contrat le 14 décembre 1829.
Dans tout contrat il y a des
clauses: les articles 3 et 4 en stipulent les limites.
Le principe
physico-chimique de l'invention de l'
Héliographie est bien
précisé.
"Je désigne sous le nom
d'Héliographie, la découverte qui fait l'objet de cet
ouvrage. Elle est due à l'observation d'un
phénomène de la lumière, (..)
la
propriété solidifiante, (..) qui
dans ses effets remarquables est la solution du problème que
je m'étais proposé et
qui fixera désormais toute mon
attention." (Nicéphore Niépce
1829.)
Suite à la proposition de
Daguerre d'employer l'iodure d'argent comme couche photo-sensible
:
"Aussi, après quelques autres tentatives, en
suis-je resté là, regrettant bien vivement, je l'avoue,
d'avoir fait fausse route pendant si
longtemps, et, qui pis est, si
inutilement &&"
"Mais, je le
répète, Monsieur, je ne vois pas que l'on puisse se flatter de tirer parti de ce
procédé, pas plus de tous ceux qui tiennent à l'emploi des oxides
métalliques...."
Nicéphore Niépce à Louis Daguerre:
lettres datées du 8 novembre 1831 et du 3 mars 1832.
Ces commentaires de
Nicéphore confirment ce qui suit.
Le résultat et les moyens conseillés par
Daguerre à Niépce en Août 1827.
Les conseils de
Daguerre étaient si importants que Niépce les
mentionnera dans toutes ses correspondances en
Angleterre.
"quand au mode d'application
à la gravure sur métal, il est loin de la
déprécier; mais comme il serait indispensable de
retoucher et de creuser avec le burin, il croit que cette application
ne réussirait que très imparfaitement pour les points
de vue, ce qui lui semble bien
préférable pour ce genre de gravure, c'est le verre en employant l'acide fluorique
(vapeurs), il est persuadé que l'encre d'impression
appliquée avec soin à la surface corrodée par
l'acide, produirait sur un papier blanc, l'effet d'une bonne
épreuve, et aurait de plus, quelques chose d'original qui
plairait d'avantage.&&&"
" Mr Daguerre m'a
conseillé de ne pas négliger ce mode particulier
d'application, qu'il regarde comme essentiellement
propre à rendre toutes les
finesses de la nature."
Nicéphore Niépce: lettres datées
de 1827.
"et j'ai l'espoir fondé de
donner aux représentations des objets sur argent
plaqué, toutes les gradations de teinte du noir au blanc,
chose importante qui m'avait été bien recommandé
par Mr Daguerre..." Niépce à de Curley 28 nov
1828.
A la suite des
procédés conseillés par Daguerre, Niépce
écrira en 1829:
"La découverte que j'ai faite
et que je désigne sous le nom d'Héliogaphie, consiste
à reproduire spontanément, par l'action de la
lumière,
avec les dégradations du noir au blanc, les images reçue dans la chambre
obscure."
Définitions:
article:
c'est le nom que l'on donne aux clauses et conditions d'un contrat.
(Répertoire de la jurisprudence du notariat 1827)
Le mot principe: terme de
chimie signifiant élément.
Sommaire: Nous précisons
la base du contrat entre Niépce et Daguerre, le rappel des
articles limitant l'application de ce contrat. Nous insistons sur le
principe physico-chimique de l'invention de l'Héliographie et
apportons des précisions sur la dénomination des
différents procédés. Nous démontrons
aussi que le procédé utilisant le résidu de
l'essence de lavande n'est pas le Physautotype, mais le
Physiotipe.
"dans l'espoir que
je ne réclamerai pas en vain l'utile appui de tant de
personnes plus capables que moi d'en assurer la réussite ..Niépce"
"liés par un traité
d'après lequel il ne sera donné de publicité
à ma découverte que lorsqu'elle aura atteint un
degré de perfection jugé nécessaire, ce travail va se trouver spécialement à
la charge de mon associé..(Mr Daguerre)...."
Niépce
à de Curley : 18 février 1830.
"En 1829 M Daguerre
s'est associé avec Mr Niépce pour le
perfectionnement du procédé de Mr
Niépce" Daguerre 1839.
Cette découverte consiste dans la reproduction
spontanée des images reçues dans la chambre
noire.
Art 3 ......Monsieur Niépce devra confier
à Mr Daguerre .....le principe sur
lequel repose sa découverte.....
Art 4 .......Mr Daguerre s'engage .....à garder
le plus grand secret, tant sur le principe
fondamental de la
découverte....
et à coopérer autant qu'il lui sera
possible aux améliorations
jugées nécessaires....
Notice.
La découverte que j'ai faite et que je
désigne sous le nom d'héliographie, consiste à
reproduire spontanément par l'action de la lumière,
avec les dégradations de teintes du noir au blanc les images
reçues dans la chambre obscure.
Principe fondamental de la
découverte.
La lumière, dans son état de composition
et de décomposition, agit chimiquement sur les corps. Elle est
absorbée, elle se combine avec eux et leur communique de
nouvelles propriétés. Ainsi, elle
augmente la consistance naturelle de quelques uns de ces corps; elle
les solidifie même, et les rend plus ou moins insolubles,
suivant la durée ou l'intensité de son action. Tel est
en peu de mots, le principe de la découverte.
Ce texte suivant, très important, publié
dans le début des années 1820, démontre que
le principe physico-chimique du
procédé de Niépce1, était connu des chimistes.
"Remarques sur la solubilité des résines et
des vernis dans l'alcohol.
Il est facile de se convaincre, par une suite d'essais
très simples, que ces substances sont
composées de molécules dont les
propriétés chimiques varient quant à leur
degré de solubilité. On doit les considérer
comme un composé de parties dont les unes sont très
solubles à une faible température dans l'alcohol et
même par le simple contact avec ce liquide, et dont les autres
un peu moins solubles demandent l'application d'une certaine chaleur
; d'autres enfin sur lesquelles l'impression de l'air, du soleil, et
même de la chaleur des infusions, a opéré une
modification qui se fait apercevoir par la résistance qu'elles
présentent à l'action du liquide spiritueux. Cependant ces trois parties constituent dans
la résine un tout homogène.
Il n'y a que le
procédé de dissolution qui puisse les montrer dans
leurs vrais attributs. Mais quelle que soit la quantité
du liquide qu'on ajoute au résidu résineux dans le but
d'arriver à une dissolution complète, elle ne
s'opérera pas.
Ainsi, lorsqu'on mêle à l'alcohol une dose
trop forte de matière, il s'empare d'abord des parties les
plus solubles, et il a peu de prises sur celles qui le sont moins.
Les parties sèches de la résine échappent
à l'action du liquide si l'on n'emploie qu'une chaleur
modérée. Dans ce cas, le vernis est faiblement
coloré, mais s'il gagne en élasticité , il perd
de la consistance et de la solidité. C'est un avantage de
réunir les trois caractères à la fois. On y
parvient par des doses limitées et en opérant avec plus
de soins et de lenteur. "
Ce principe physico-chimique
était la base du contrat entre Niépce et
Daguerre1
Il dirigera continuellement les
recherches de Niépce et de Daguerre.
Héliographie avec le
bitume de Judée.
Le bitume coloré appliqué
sur un fond noir ne pouvant plus convenir
d'où
L'initiative de proposer un produit (principe)
photo-sensible blanc:
Dans la notice sur l'héliographie, Daguerre
indique en bas de page cette précision importante et
évidente:
"La teinte la plus claire
que donne ce procédé n'est pas
blanche." Daguerre. (sur le plaqué d'argent)
Le 26 février 1830, donc au tout début de
l'association, Daguerre écrit:
"Le bitume de Judée me paraît, ainsi
qu'à vous, avoir les propriétés
nécessaires à l'exception
cependant du blanc...... Il nous faut
chercher le blanc et son opposé. L'iode ne me
paraît pas convenable, il est toujours irisé ou
verdâtre."
Dans cette même lettre, Daguerre ajoute au code convenu pour la
correspondance:
52: blanc.
De ce constat fait par
Daguerre, les recherches auront pour but de satisfaire à ces
exigences.
Suite à une
observation importante de
Daguerre, les deux
inventeurs vont faire en 1832 une découverte et mettre au point le physautoype basé
sur le principe de Niépce (bitume de Judée). Par la suite, Daguerre inventera le physiotype (principe:
résidu de l'essence de lavande).
Nous avons déjà écrit de nombreuses
fois, que le procédé du résidu de l'essence de
lavande n'est pas le physautotype !
Le vernis photo-sensible du physautotype est
constitué d'un composé de résidu d'huile de
pétrole et du résidu d'essence de lavande. Ce dernier résidu avait été
découvert par Daguerre. Dans ce composé,
la partie photo-sensible (principe) est le
résidu d'huile de pétrole. . Le pétrole
est classé dans la famille des bitumes2. Le vernis composé d'un
dosage différent de ces deux résidus n'étant pas
coloré (en fait légèrement gris), donnera une
image sans coloration: c'est ce que voulait Daguerre.3
Après exposition à la lumière,
l'image était obtenue avec les actions successives de vapeur
d'éther sulfurique et de dissolvant liquide, méthode
mise au point par le directeur du diorama.
Daguerre découvrira la
sensibilité à la lumière du résidu de
l'essence de lavande.
Nos deux chercheurs en étaient là, au
décès de Niépce.
Par la suite, Daguerre fera
apparaître l'image avec les vapeurs de
pétrole.
Cela constituera les apports de
Daguerre au procédé de
Niépce.5
Jean-Louis Marignier prétexte
un manque de mémoire de la part de Daguerre pour
l'appellation du procédé au résidu de l'essence
de lavande, lui permettant ainsi d'attribuer l'invention de ce
procédé aussi à Niépce. Daguerre,
après le décès de Niépce, mentionnera
comme nom le physiotipeet non le physautotype.
Daguerre écrit à
Isidore:
"Physiotipe ou Empreinte
naturelle".
formé de: Phusis = nature;
Typos = empreinte.
ce qui montre bien que Daguerre
se souvenait du code.
L'argument de Jean Louis Marignier
n'est pas recevable. Cet argument est fallacieux et spolie
Daguerre 6, car
la lecture de la correspondance montre à l'évidence,
que Daguerre ne fait pas d'erreur et se
souvient bien du code forgé par Nicéphore
Niépce. Ce procédé appartient uniquement
à Daguerre et pour s'en convaincre, il suffira de lire les
commentaires d'Isidore Niépce à ce sujet, dans son
pamphlet contre son "Cher associé"4
Les noms des
procédés successifs sont en relation directe avec le
produit photosensible (principe) employé:
héliographie =
bitume de judée = bitume = principe physico-chimique du
contrat entre Niépce et Daguerre: inventé par
Niépce.
physautotype =
résidu d'huile de pétrole = résidu de bitume =
principe physico-chimique du contrat entre Niépce et Daguerre:
inventé par Niépce et Daguerre.
physiotipe =
résidu d'essence de lavande = résidu résineux =
principe physico-chimique du contrat entre Niépce et Daguerre:
inventé par Daguerre.
daguerréotype =
iodure d'argent = sel d'argent = principe physico-chimique
différent de celui du contrat entre Niépce et Daguerre:
inventé par Daguerre.
Comme nous l'avons déjà
écrit 2, la
sensibilité du vernis et la visibilité de l'image
dépendront uniquement des composants constituant le vernis.
La plaque insolée est
trempée dans un dissolvant liquide, l'image est
dépouillée, le résidu non exposé à
la lumière est dissout.
Dans le cas de l'exposition aux
vapeurs d'huile de pétrole , l'image n'est plus
dépouillée mais révélée, puisque
dans ce cas le changement moléculaire (chaînage des
atomes de carbone) du résidu plus ou moins exposé sera
mis en évidence par les vapeurs d'huile de pétrole. La
phénoménologie est identique dans le
daguerréotype: les vapeurs de mercure font aussi
apparaître l'image en fonction de l'insolation de l'iodure
d'argent.
Notes
1
-Depuis le pamphlet d'Isidore et la polémique savamment
entretenue par la famille4, force est de
constater que l'on ne sait pas lire un contrat !
-Nous l'avions déjà
indiqué dans les annales de la "Société L J M
Daguerre" édité en 1989.
-Voir aussi notre contestation sur les
différentes méthodes utilisées pour travestir la
vérité.
2 -Daguerre et
l'optique : J Roquencourt: Études Photographiques: n°5
1998, notes 3 et 20 (Société Française de
Photographie).
3 - Voir la remarque de Daguerre dans son
opuscule sur la couleur du procédé de Niépce
page 39 de l'édition Giroux
4 -
Peut-être que pour Jean-Louis Marignier, Isidore ne se
souvient plus non plus !.
Ce pamphlet a été réédité
hors commerce et tiré à 1000 exemplaires en 1972 par la
société OFMI-GARAMONT*, avec la
participation d'André Jammes et de Janine Niépce. On y
trouve les photographies du premier diaphragme à iris,
naturellement attribué à Niépce, la chambre
à soufflet qui n'est autre que le soufflet du
Pyréolophore ainsi que la table servie qui n'est pas de
Nicéphore (Nous reviendrons sur ce sujet).
Jean Dereck , en guise d'avertissement , reconnaît que
"le texte souffre peut-être d'un contenu et d'un ton plus
polémique qu'historique.sans doute, (écrit-il) mais il
nous a paru d'un intérêt certain de rappeler la
précarité des moyens et les embûches de toutes
sortes qui ont été le lot de Niépce et, par
là-même , de préciser les rôles
respectifs,et d'ailleurs respectés de l'inventeur .......Si ce
petit ouvrage contribue quelque peu à la connaissance et
à la gloire d'une des plus primordiales inventions
françaises, notre but sera atteint."
En introduction, Jean Dereck cite Victor Hugo:"Aimer , c'est la
moitié de croire" et termine en précisant que c'est en
hommage à Niépce que ce texte a été
réédité.
Jean Dereck est décédé , nous aurions
souhaité lui expliquer comment sa sincérité a
été abusée.
* La Société Ofmi-Garamont a
changé de nom et de raison sociale en devenant la
Société Heidelberg France depuis le 31 mars 1998.
5- Voir le résumé écrit
par Daguerre sur les "Modifications apportées au
procédé de Niépce par Daguerre" de son opuscule
dans l'édition de Giroux, par exemple.
6-
Ce chercheur a écrit de
nombreux articles en propageant cette fausse information *
Nous
dénonçons cette imposture !
-Nous ferons aussi remarquer que les travaux de ce
dernier, présentés comme nouveaux, avaient
déjà été effectués par
Niépce de St Victor.
Arago en présentant
l'historique des inventions des procédés de
Niépce et de Daguerre, indique que l'utilisation du
résidu de l'essence de lavande comme élément
photosensible et des vapeurs de pétrole pour faire
apparaître l'image, sont
uniquement du fait de Daguerre.
On pourrait s'étonner
qu'aucun historien n'ait relevé la contradiction entre les
affirmations de JL Marignier et toutes les sources*.
* sauf
l'historien Derek Wood.
6- J L Marignier nous écrivait le 26 septembre 1990,
alors que nous nous interrogions sur les présentations de ses
recherches: " vous déformez les résultats de mes
recherches en......je désire que mes recherches et
résultats expérimentaux parlent d'eux-mêmes et
que leurs conclusions s'imposent..(souligné dans la
lettre)"
commentaire d'Arago page 16 de
l'opuscule de Daguerre, édition de Giroux.
Lire aussi cette copie du
compte-rendu de l'Académie des Sciences.
Nous publions ci-dessous le texte
des modifications apportées uniquement par Daguerre
au procédé de Niépce et que Jean-Louis Marignier
a l'imprudence d'appeler Physautotype, lui permettant ainsi,
d'attribuer ces améliorations aux deux inventeurs.
Napthe ou huile de pétrole
blanche. (1829)
7-
Après l'image latente avec le bitume de judée, avec les acides
c'est maintenant avec le physautotype que J L Marignier veut nous
démontrer que c'est Nicéphore le découvreur de
l'image latente, comme il l'a déja invoqué pour
l'utilisation des acides!
Nous écrivions dans notre
contestation datée de 2002: Contestation.
* Quand on expose l'acide nitrique
pendant quelques temps à la lumière du jour, il ne
tarde pas à se colorer en jaune ou en rouge... (1816):
informations que devait connaître Niépce puisqu'il
consultait les ouvrages de chimie dans le cadre de ses recherches.
[Thénard]
"Ainsi par le contact de la
lumière quelques acides sont décomposé....."
Fourcroy L'an III de la République
L'interprétation
des manuscrits doit être faite avec les connaissances de
l'époque.
(copie d'écran
du site de la maison Niépce)
Avec le résidu
de pétrole (physautotype) il n'y a pas d'image
latente.
l'image est visible;
les blancs sont légèrement gris.
En supprimant le
résidu de pétrole ou autre bitume pour obtenir des
blancs purs, Daguerre découvrira la sensibilité du
résidu de l"essence de lavande et c'est uniquement
dans ce cas, que l'image sera souvent invisible.
Après le
décès de Niépce, il fera apparaître
l'image avec les vapeurs de pétrole.
Il est
nécessaire que ce résidu soit pur, ce qui n'est pas le
cas avec le résidu de pétrole et que l'image obtenue
soit visible.
"Utilisant les
techniques apprises auprès de Niépce, il inventera un
troisième procédé, le daguerréotype,
premier
procédé
photographique praticable du fait d'un temps de pose abaissé
à environ quinze minutes.
Ce dernier
procédé est bien entendu redevable à
Niépce car bon nombre d'aspects découlent de
l'héliographie. (J L
Marignier)"
Il nous écrivait
le 26 sept 1990:
" Pour ce qui est de
l'aspect historique, je tiens à rester libre d'exprimer mon
opinion comme je le désire...."
Rien n'est plus
contraire à la vérité et naturellement de la
part de ce dernier, pas un mot sur les excellents conseils de
Daguerre. (Jacques Roquencourt)
"Et surtout
d'excellents conseils de Mr Daguerre
que je tacherai de
mettre à profit."
Niépce à
Bauer. (4 mai 1828)
Avec Manuel Bonnet et
Jean-Louis Marignier, ces excellents conseils ont disparu, puisqu'ils
sont tous attribués à Niépce!
"Le plus grand
dérèglement de l'esprit, c'est de croire les choses
parce qu'on veut qu'elles soient,
et non parce qu'on a vu
qu'elles sont en effet." Bossuet.
références :
- premières remarques dans les annales de la
Société L J M Daguerre 1989.
-** article de J B BIOT dans le Journal des Savants en mars et
avril 1839.
-Daguerre et l'optique : J Roquencourt.
Études Photographiques: n°5 1998
(Société Française de Photographie).
-Note sur le portrait de M Huet : J Roquencourt, A
Gunthert.
Études Photographiques: n°6 1999
(Société Française de Photographie).
- L'invention de la photographie: une tragédie (à
paraître)